lundi 30 avril 2012

LA GAUCHE DÉBAUCHE

La campagne pour l’érection[1] présidentielle fait jouir encore mieux ceux et celles habitués à fesse-toyer,[2] et qui se préparent à jouir encore plus avec l’installation annoncée de leur figurant en chef, en remplacement de son alter ego de droite, sur le trône du Palais de l’Élysée.
La gauche qui a la majorité dans les conseils communaux (les communes), les conseils généraux (les départements), les conseils régionaux (les régions), le Sénat, se prépare donc à occuper le Palais de l’Élysée, Matignon, divers ministères, à avoir la majorité à l’Assemblée Nationale et se partage les fauteuils depuis un certain temps déjà.
Cette gauche est considérée par ses employeurs qui sont aussi ceux de la droite apte à reprendre du caviar, à con-tinuer[3] la débauche au service de la cupidité, des détournements d’argent, de la corruption, de la pourriture, de l’arrogance, du faux, de l’usage de faux, de l’imposture.
Un de ses derniers modèles, le « tonton » François Mitterrand, répétait à qui voulait entendre, qu’il allait « changer la vie ».
Ce figurant qui a profité de multiples fauteuils pour « changer sa  vie », a été installé pendant quatorze années sur le trône du Palais de l’Élysée.
Comme ses semblables de droite, il n’a jamais déçu ses employeurs, les imposteurs d’hier, d’aujourd’hui et de demain qui permettront toujours à leurs employés de gauche de se vautrer dans le vice, de s’adonner à l’alcoolisme, aux drogues, aux fornications, aux adultères, aux enculeries et autres explorations anatomiques, en jetant à la gueule de la « masse » qu’ils vont « changer la vie » et instaurer « l’exemplarité ».
Pour le con-citoyen, d’une érection à l’autre, le bulletin dans la fente suffit à faire jouir.
Les fêtards du « peuple », étaient samedi 28 avril 2012,[4] dans un sexshop devenu bar-restaurant dans une rue à Paris, la rue seins-deux-nids, [5] connue depuis des lustres pour ses putes et ré-putée[6] pour ses lieux de baise.
Dans ce bar-restaurant qui porte le nom de « j’ose », un député de cette gauche caviar, formé à l’époque de son « tonton » Mythe-errant,[7] dans ″touche pas à mon pote″ (S.O.S. racisme), a invité plus de cent cinquante personnes avec un mec de poids, dont les affaires de sexe ont défrayé l’accro-nique,[8] Dominique Strauss Kahn, dit D.S.K.
Avant qu’il ne soit arrêté au mois de mai 2011 à New York pour crimes sexuels,[9] les affaires de sexe dans lesquels cet individu [10] est impliqué ne se comptent plus.
Dans l’une parmi celles qui ont été rendues publiques, il est mis en examen pour proxénétisme en bande organisée
Avant l’arrestation à New York, il était quasiment désigné pour être installé sur le trône du Palais de l’Élysée en remplacement de son alter ego de droite.
Le bar-restaurant où il pavanait le samedi 28 avril 2012 avec des potes de la gauche caviar, dispose de trois étage : le paradis, l’enfer et le purgatoire.
Dans ses menus, les préliminaires désignent des entrées, et les orgasmes des desserts.
Mais attention, il ne faut pas con-fondre[11] vie privée et vie pub-lique,[12] car parmi les invités beaucoup seront ministres du figurant en chef désigné pour remplacer le figurant en chef de droite, et les valeurs cul-turelles [13] seront con-solidées.[14]
       
BOUAZZA


[1] L’élection.
[2] Festoyer.
[3] Continuer.
[4] Selon le calendrier dit grégorien.
[5] Saint Denis.
[6] Réputée.
[7] Mitterrand.
[8] La chronique.
[9] Il a été emprisonné, puis mis en résidence surveillée avant que le procureur n’abandonne les poursuites pénales pour des raisons qui seront certainement exposées un jour.
[10] Directeur général du Fonds Monétaire International (F.M.I.) au moment de son arrestation, ancien maire, ancien député, ancien ministre, donné comme le Président de gauche de la République de France pour 2012.
Un "champion de gauche, un "défenseur des masses laborieuses", un "génial" socialiste, un "grand homme" qui a payé une caution d’un million de dollars pour sa mise en liberté provisoire et apporté cinq millions de dollars de garantie.
Qui loue une maison cinquante mille dollars par mois, paie des sommes faramineuses pour les frais de la société chargée de sa surveillance, pour les frais des personnes chargés de sa défense, pour ses repas  et autres.
Ne parlons pas des diverses propriétés, des tableaux de peintres de renom, des fortunes dans diverses banques et d’autres revenus encore : du fric socialiste !
Il y a aussi le palais de Marrakech, la ville bordel du Maroc dit pays "musulman", pays dans lequel Dominique Strauss Kahn a passé quelques années de son parcours, où règne la pourriture, et où une certaine clientèle dite "haut de gamme", composée de politiques, de financiers, d’hommes et de femmes d’affaires, de gestionnaires de médias, de stars, d’artistes, d’écrivains, et autres éléments cosmopolites de gauche, du centre de droite et de je ne sais quoi encore, amateurs de sexe sans frontières et de partouzes mondialistes, s’adonnent à toutes les débauches et en premier lieu à la pédophilie, et repartent avec de "fabuleux cadeaux", "offerts" par des "dirigeants" mis en place pour les servir.
"On" dit que le fric appartient à son épouse.
Il est en effet marié, pour la troisième fois.
Le mari de Piroska Nagy, une employée du F.M.I. a parlé d’une "promotion canapé" de son épouse, suite à un adultère avec Dominique Strauss Kahn, le Directeur de l’institution dont le conseil d’administration a préféré parler de "relation consentante" pour maintenir D.S.K. à son poste.
D.S.K. a proféré des menaces contre ceux et celles qui reprendraient ce qu’il a qualifié de "rumeurs malveillantes" !
L’affaire a été étouffée et en France, ce fut le "blackout" sur Dominique Strauss Kahn et ses affaires de sexe que beaucoup connaissent, et qui défrayent la chronique depuis, en dépit de ″la présomption d’innocence″, très chère au débauchés et aux vicieux pleins aux as.
[11] Confondre.
[12] Publique.
[13] Culturelles.

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