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dimanche 24 mars 2013
vendredi 8 mars 2013
LE MOMENT VIENDRA
jeudi 7 mars 2013
mercredi 6 mars 2013
CET AUTRE MOI-MÊME
Je me souviens.
J’y étais pour l’accomplissement
d’alhajj.[3]
À
un moment, je me suis regardé dans une glace.
J’avais d’autres traits.
Je n’ai manifesté aucune surprise
devant le miroir.
Cet autre moi-même m’était
familier.
Quelqu’un de la matrie.[4]
Celle des croyants et des
croyantes.[5]
Des mots s’associent, des
souvenirs s’assemblent, des idées se rassemblent.
Sur la terre et sous le ciel
d’Allaah, Seigneur des Univers, des hommes, des femmes, des enfants et autres
marchent.
Depuis combien de temps ?
Quelle distance ont-ils parcouru ?
Pour eux, le temps ne compte pas
et ils ne mesurent pas l'espace.
Un immense souffle est en eux.
Le but est dans leur cœur.
Couverts de la parure de la piété,
ils avancent, se replient, puis avancent.
Au rythme de l’unicité.[6]
Laa Ilaah illaa Allaah.[7]
« Et Nous n’avons envoyé
avant toi[8] aucun
Messager sans lui révéler qu’il n’y a d’autre Ilaah[9] que
Moi,[10]
adorez-Moi donc ».[11]
Les croyants et les croyantes
font ce qu’ils peuvent ici-bas comme si c’était la demeure de toujours et se
préparent à rejoindre l’au-delà à tout instant.[12]
Ils savent que le plus noble
auprès d’Allaah, est le plus pieux.[13]
Et que l’avenir est à la piété.[14]
BOUAZZA
[1] En 1995, selon le
calendrier dit grégorien.
J’ai recours à ce
calendrier imposé partout, y compris parmi ceux et celles qui autrefois ne
subissaient pas cette agression et
appliquaient le calendrier lunaire.
Un jour ine chaa-e Allaah
(si Allaah veut), le calendrier lunaire retrouvera sa place.
[2] La Mecque.
[3] Le
pèlerinage pour les croyants et les croyantes.
[4] Omma, communauté.
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] Attawhiid.
[7] Il n’y a d’autre Divinité
qu’Allaah.
[8] Allaah s’adresse à
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[9]
Divinité.
[10]
Allaah.
Il n’y a d’autre Ilaah
qu’Allaah.
C’est l’unicité,
attawhiide, le fondement de l’Adoration, al’ibbaada, c'est-à-dire le fondement
de l’Islaam qui consiste, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la
paix, à Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[11]
Alqoraane (le Coran), sourate 21 (chapitre 21), Alanbiyaa-e, Les Prophètes, aayate
25 (verset 25).
[12] Référence à un hadiithe
attribué à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la
paix.
Alqoraane est la
continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad sur lui la
bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la
conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiithe
(hadiite, hadith, hadite), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la
conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et
la paix.
Alqoraane n’a de sens
qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède
d’Alqoraane.
[13] "Ô humains ! Nous vous avons créés d’un
mâle et d’une femelle et avons fait de vous des peuples et des tribus afin que
vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d’entre vous auprès d’Allaah est le
plus pieux."
Alqoraane (Le Coran),
sourate 49 (chapitre 49), Alhojouraate, Les Chambres, aayate 13 (verset 13).
Alqoraane est la
continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Alqoraane (Le Coran),
sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je reprends ce que j’ai
déjà exposé.
Voir :
mardi 5 mars 2013
LUI, RAHHO
« C’était ainsi tous les
matins : un homme de la montagne se réveillait sur la montagne, aussi
paisible qu’elle. Ses doutes et ses craintes de la veille, tous et toutes,
avaient été lavés dans les eaux noires de la nuit. Il ouvrait les yeux et la
porte de sa masure et, aussitôt, brasillaient en lui tous les printemps du
monde parce que lui faisait face, là-bas à l’horizon, une aube nouvelle qui
allait tout éclairer, et, en même temps, presque à la même seconde, croulaient
sur lui tous les automnes, toutes les détresses du monde, à la simple vue d’un
coq aveugle dont le chant avait retenti jadis comme un appel de la vie à la vie
et qui était maintenant là, témoin, errant sans comprendre dans d’éternelles
nuits faméliques, sans rien comprendre ni personne. Que pouvait-il faire pour
le secourir, lui, Raho,[1] fils
de la terre nue ? »[2]
UNE DE MES SOEURS
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