Avec la fin des existences
ici-bas de ma mère et de mon père,[1] j’ai
essayé d’établir des contacts avec des frères, des sœurs, et avec d’autres,[2] en
dépit de certains « blocages ».
Je voulais essayer d’établir des
rapports « autres ».
Ma démarche n’a pas modifié
grand-chose à la situation d’avant.[3]
Je ne cherche pas du tout à nier mes
comportements qui laissent à désirer.
J’ai eu ces comportements, et je
risque d’en avoir.
Je garde cependant l’espoir
qu’Allaah me pardonne.
Je l’invoque pour qu’Il accepte
mon repentir.
Je l’invoque pour qu’Il m’accorde
l’humilité et la modestie.
Je l’invoque pour qu’Il me
préserve de la cécité du cœur.[4]
Je l’invoque pour qu’Il me
défende contre les tromperies d’achchaytaane,[5] et
qu’Il m’aide à faire de mon mieux pour l’Adorer comme Il le demande.[6]
BOUAZZA
[1] Qui ont eu lieu le samedi
28 juin et le samedi 04 octobre 2008 selon le calendrier dit grégorien.
[2] Sans cautionner ce qui ne
doit pas l’être.
[3] Je me
suis exprimé plus d’une fois sur ce point, et je n’ai surtout pas manqué de
parler du fils aîné de ma belle-mère, la troisième épouse de mon père.
J’ai noté qu’en tant qu'usurpateur, il s’est accaparé de beaucoup de ″biens″ du vivant de mon père, dont une
maison, acquise comme le reste, suite à des falsifications et autres
magouilles.
Ces recours à des moyens
frauduleux et à des pratiques blâmables sont innombrables et graves.
Par
des falsifications, des magouilles et des combines auxquelles il recourt depuis
des lustres, et qu’il tente vainement de camoufler, il a même fait venir sa
mère en France, en a fait une vielle ″indigène
indigente″ de la colonie, à la recherche de prises en charge
dites médico-sociales auprès de la métropole.
Sa
mère continue d’habiter la maison qu’il a usurpée au Maroc et qu’il n’a pas
encore vendue comme il le souhaite, mais il fait venir sa mère chaque fois que
l’administration de la métropole veut ″vérifier″ que la vieille ″indigène
indigente″ est établie en métropole.
Allaah connaît toutes les
falsifications et toutes les magouilles de ce personnage qui a fini par vendre
la maison usurpée.
Il fait semblant de chercher à acquérir un
petit appartement pour y loger sa mère, la vieille ″indigène indigente″.
Et même s'il l'acquiert, ce sera, dans sa tête, pour le vendre avec "une plus-value" au décès de "l'indigène indigente".
Et même s'il l'acquiert, ce sera, dans sa tête, pour le vendre avec "une plus-value" au décès de "l'indigène indigente".
[4] ″Ce ne sont pas les yeux
qui sont atteints de cécité mais les cœurs qui sont dans les poitrines″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22),
Alhajj; Le Pèlerinage, aayate 46 (verset 46).
Kachriid
note que ″la vérité transcendante ne peut être perçue par les
yeux ou par le toucher car elle n’a rien de matériel et ne tombe pas sous nos
sens très limités. Il y a donc un autre organe percepteur qui est le cœur.
Quand le cœur est vraiment sain et qu’il n’est pas aveuglé par l’orgueil et
l’ingratitude, il décèle instinctivement la présence d’un pouvoir suprême qui
préside à la marche de toute chose.
L’homme
est un être religieux par nature et par besoin mais c’est à la suite de
l’emprise totale de ses désirs charnels et de ses passions terrestres sur tout
son être qu’il dévie du droit chemin″.
Salaah Addiine Kachriid
(Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane
(Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième
édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
[5] Satan.
[6]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
J’ai parlé plusieurs fois
de cela, et je tiens à rappeler.
Il est bénéfique de
rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.
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