vendredi 8 mars 2013

LE MOMENT VIENDRA



« Et quiconque aura fait un atome de bien le verra, et quiconque aura fait un atome de mal le verra ».[1]

mercredi 6 mars 2013

CET AUTRE MOI-MÊME



Je me souviens.
Il y a de cela des années[1] à Makka.[2]
J’y étais pour l’accomplissement d’alhajj.[3]
À un moment, je me suis regardé dans une glace.
J’avais d’autres traits.
Je n’ai manifesté aucune surprise devant le miroir.
Cet autre moi-même m’était familier.
Quelqu’un de la matrie.[4]
Celle des croyants et des croyantes.[5]
Des mots s’associent, des souvenirs s’assemblent, des idées se rassemblent.
Sur la terre et sous le ciel d’Allaah, Seigneur des Univers, des hommes, des femmes, des enfants et autres marchent.
Depuis combien de temps ?
Quelle distance ont-ils parcouru ?
Pour eux, le temps ne compte pas et ils ne mesurent pas l'espace.
Un immense souffle est en eux.
Le but est dans leur cœur.
Couverts de la parure de la piété, ils avancent, se replient, puis avancent.
Au rythme de l’unicité.[6]
Laa Ilaah illaa Allaah.[7]
« Et Nous n’avons envoyé avant toi[8] aucun Messager sans lui révéler qu’il n’y a d’autre Ilaah[9] que Moi,[10] adorez-Moi donc ».[11]
Les croyants et les croyantes font ce qu’ils peuvent ici-bas comme si c’était la demeure de toujours et se préparent à rejoindre l’au-delà à tout instant.[12]
Ils savent que le plus noble auprès d’Allaah, est le plus pieux.[13]
Et que l’avenir est à la piété.[14]
 
BOUAZZA


[1] En 1995, selon le calendrier dit grégorien.
J’ai recours à ce calendrier imposé partout, y compris parmi ceux et celles qui autrefois ne subissaient pas cette  agression et appliquaient le calendrier lunaire.
Un jour ine chaa-e Allaah (si Allaah veut), le calendrier lunaire retrouvera sa place.
[2] La Mecque.
[3] Le pèlerinage pour les croyants et les croyantes.
[4] Omma, communauté.
[5] Almouminoune wa almouminaate.
[6] Attawhiid.
[7] Il n’y a d’autre Divinité qu’Allaah.
[8] Allaah s’adresse à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[9] Divinité.
[10] Allaah.
Il n’y a d’autre Ilaah qu’Allaah.
C’est l’unicité, attawhiide, le fondement de l’Adoration, al’ibbaada, c'est-à-dire le fondement de l’Islaam qui consiste, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, à Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[11] Alqoraane (le Coran), sourate 21 (chapitre 21), Alanbiyaa-e, Les Prophètes, aayate 25 (verset 25).
[12] Référence à un hadiithe attribué à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiithe (hadiite, hadith, hadite), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[13] "Ô humains ! Nous vous avons créés d’un mâle et d’une femelle et avons fait de vous des peuples et des tribus afin que vous vous entreconnaissiez. Le plus noble d’entre vous auprès d’Allaah est le plus pieux."
Alqoraane (Le Coran), sourate 49 (chapitre 49), Alhojouraate, Les Chambres, aayate 13 (verset 13).
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
[14] Wa al’aaqiba littaqwaa.
Alqoraane (Le Coran), sourate 20 (chapitre 20), Ta-ha, aayate 132 (verset 132).
Je reprends ce que j’ai déjà exposé.
Voir :

mardi 5 mars 2013

DE QUOI ?



« On » dit parfois d’une personne qui a achevé son parcours ici-bas, qu’elle a eu « une vie bien remplie ».
De quoi ?
Peu de personnes se posent cette question.[1]



BOUAZZA

LUI, RAHHO



 « C’était ainsi tous les matins : un homme de la montagne se réveillait sur la montagne, aussi paisible qu’elle. Ses doutes et ses craintes de la veille, tous et toutes, avaient été lavés dans les eaux noires de la nuit. Il ouvrait les yeux et la porte de sa masure et, aussitôt, brasillaient en lui tous les printemps du monde parce que lui faisait face, là-bas à l’horizon, une aube nouvelle qui allait tout éclairer, et, en même temps, presque à la même seconde, croulaient sur lui tous les automnes, toutes les détresses du monde, à la simple vue d’un coq aveugle dont le chant avait retenti jadis comme un appel de la vie à la vie et qui était maintenant là, témoin, errant sans comprendre dans d’éternelles nuits faméliques, sans rien comprendre ni personne. Que pouvait-il faire pour le secourir, lui, Raho,[1] fils de la terre nue ? »[2]


[1] C’est le même prénom que celui du titre.
[2] Driss Chraïbi, La mère du printemps, l’Oum-Er-Bia, Paris, Editions du Seuil, 1982, P.19-20.
J’ai déjà exposé ces lignes.
Voir :

UNE DE MES SOEURS



Elle est décédée quelques mois après mon départ du Maroc, pour entreprendre des études universitaires en France.
Personne ne m’avait informé de son décès.[1]
« Pour ne pas perturber mes études ».
 
BOUAZZA

lundi 4 mars 2013

À ALLAAH EST NOTRE RETOUR



« Ô vous qui croyez ! Vous êtes responsables de vous-mêmes. Celui qui s’égare ne vous cause pas de tort si vous avez suivi la bonne voie. À Allaah est votre retour tous et Il vous informera de ce que vous faisiez ».[1]


[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 5 (chapitre 5), Almaa-ida, La Table, Le Festin, aayate 105 (verset 105).
Kachriid note que certains se basent à tort sur ce verset pour croire qu’ils ne sont tenus que de suivre eux-mêmes la loi d’Allaah sans se préoccuper de ce qui se fait autour d’eux. Cela est absolument faux car tout croyant est tenu de prescrire le bien et de proscrire le mal.
Le Calife (Khalife) Abou Bakr qu’Allaah le bénisse a dit une fois à des gens qui faisaient cette fausse interprétation : "J’ai entendu le Messager d’Allaah bénédiction et salut d’Allaah sur lui dire : Quand les gens voient faire l’injuste sans mettre fin à son injustice, ils ne sont pas loin de subir un châtiment d’Allaah".
Ce verset ne s’applique qu’à ceux qui ont combattu vainement autour d’eux pour que règne la Loi d’Allaah et qui l’ont respectée eux-mêmes. Ceux-là seulement sont dégagés de toute responsabilité pour ce que font les autres.
Salaah Addine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaami, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 158.
Tu ne guides pas qui tu aimes, mais Allaah guide qui Il veut.
Alqoraane (Le Coran), sourate 28 (chapitre 28), Alqaças, Le Récit, aayate 56 (verset 56).
Voir :

CLAIR, NET ET PRÉCIS



Le système des ténèbres, celui d’achchaytaane,[1] continue son oeuvre dans tous les domaines.
Et continuera.
La puanteur ne cesse de gicler et de se répandre.
La débauche, la turpitude, la corruption, l’arrogance, l’absence de respect, le faux, le mensonge, l’usurpation, le pillage, la fraude, le trafic, le viol, le massacre, la destruction, la tuerie, l’horreur et autres n’épargnent aucun secteur.
Les coups les plus inimaginables sont montés.
Les manipulations les plus incroyables sont pratiquées.
Les mensonges les plus éhontés sont servis.
Aujourd’hui, la mafia colonialo-impérialo-sioniste, met tout en œuvre pour tout soumettre à ses désirs.
Une mafia qui mobilise tous les moyens à cet effet.
Une mafia qui étend sa gangrène.
Une mafia qui à la tête de la finance internationale, ne cesse de déverser la pourriture.
Une mafia qui corrompt des « politiques », des « religieux », des « élus », des « magistrats », des « avocats », des « patrons », des « syndicalistes », des « médecins », des « professeurs » des « intellectuels », des « journalistes », des « écrivains », des « artistes » et autres.
Une mafia qui « offre » des emplois fictifs, des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans diverses institutions, des places au gouvernement, qui élit des présidents, qui intronise des rois et des reines, qui procure de l’argent, des voyages, du sexe sans frontières et mille et une autres « faveurs ».
Une mafia qui défend l’étable de la loi.[2]
Une mafia qui veut réduire au silence, quiconque ose porter atteinte à ses « droits ».
Une mafia qui calomnie, diffame, salit, souille, humilie, écrase, détruit, et veut exterminer quiconque n’approuve pas ses pratiques, selon la technique très prisée qui consiste à « victimiser » l’accusé et à accuser la victime.
Une mafia qui emploie des dévoyés, des pervers, des pourris, des assassins, des bourrés d’argent sale et de vices, qui contribuent à faire des pays où ils sont employés, y compris des pays dits « musulmans »,[3] des bordels et des dépotoirs où le débauché est roi !
Une mafia qui dispose des États comme instruments de son bon vouloir, pour agir à sa guise.
Une mafia qui veille sur son fonds de commerce, en se permettant tout et en imposant son diktat partout.
Mais l’imposture ne pourra jamais faire disparaître la Lumière d’Allaah.
Elle ne viendra jamais à bout de la résistance des croyants et des croyantes.[4]
« Par le soleil et par sa clarté.[5] Par la lune quand elle le suit.[6] Par le jour quand il l’éclaire.[7]
Par la nuit quand elle l’enveloppe.[8] Par le ciel et par Celui qui l’a construit. Par la terre et par Celui qui l’a étendue.[9] Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée.[10] Et lui a inspiré son immoralité et sa piété. A réussi celui qui l’a purifiée.[11] Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[12]

 
BOUAZZA


[1] Satan.
[2] Les tables de la loi.
[3] Les croyants et les croyantes savent que les États de ce genre n’ont rien à voir avec l’Islaam, que les individus placés à leur tête sont des imposteurs et que depuis des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
Les croyants et les croyantes eux, par la miséricorde d’Allaah, sont partout, et seront toujours partout.
Ce n’est pas l’État qui fait les croyants et les croyantes.
[4] Almouminoune wa almouminaate, qui, depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, font de leur mieux pour vivre l’Islaam, c'est-à-dire pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
L’Islaam fait la grandeur des croyants et des croyantes.
[5] Et par ses lueurs matinales.
[6] Quand elle vient après lui.
[7] Quand il le refait paraître dans toute sa splendeur.
[8] Quand elle le recouvre de son voile.
[9] Et par Celui qui a aplani sa surface.
[10] Par un être vivant et par Celui qui l’a fabriqué dans une harmonie parfaite.
[11] A récolté le succès celui qui l’a purifiée.
[12] Et a échoué celui qui n’a pas laissé son humanité s’épanouir.
Dans une note en bas de page, Kachriid écrit que le verbe "dassa" en arabe veut dire cacher, empêcher de paraître au grand jour.
L’être humain étant à l’origine d’essence divine, son humanité est l’ensemble de toutes les vertus et noblesses.
Celui qui suit la voie de l’immoralité est comme celui qui a empêché sa bonne nature d’éclater au grand jour pour ne montrer que sa fausse nature inspirée par achchaytaane, satan, et les passions charnelles.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 809.
Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchamç, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 au verset 10).
Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Je reprends ce que j’ai déjà exposé.
Voir :

dimanche 3 mars 2013

QU’ALLAAH ME COUVRE DE SA MISÉRICORDE



Avec la fin des existences ici-bas de ma mère et de mon père,[1] j’ai essayé d’établir des contacts avec des frères, des sœurs, et avec d’autres,[2] en dépit de certains « blocages ».
Je voulais essayer d’établir des rapports « autres ».
Ma démarche n’a pas modifié grand-chose à la situation d’avant.[3]
Je ne cherche pas du tout à nier mes comportements qui laissent à désirer.
J’ai eu ces comportements, et je risque d’en avoir.
Je garde cependant l’espoir qu’Allaah me pardonne.
Je l’invoque pour qu’Il accepte mon repentir.
Je l’invoque pour qu’Il m’accorde l’humilité et la modestie.
Je l’invoque pour qu’Il me préserve de la cécité du cœur.[4]
Je l’invoque pour qu’Il me défende contre les tromperies d’achchaytaane,[5] et qu’Il m’aide à faire de mon mieux pour l’Adorer comme Il le demande.[6]
  
BOUAZZA


[1] Qui ont eu lieu le samedi 28 juin et le samedi 04 octobre 2008 selon le calendrier dit grégorien.
[2] Sans cautionner ce qui ne doit pas l’être.
[3] Je me suis exprimé plus d’une fois sur ce point, et je n’ai surtout pas manqué de parler du fils aîné de ma belle-mère, la troisième épouse de mon père.
J’ai noté qu’en tant qu'usurpateur, il s’est accaparé de beaucoup de biens du vivant de mon père, dont une maison, acquise comme le reste, suite à des falsifications et autres magouilles.
Ces recours à des moyens frauduleux et à des pratiques blâmables sont innombrables et graves.
Par des falsifications, des magouilles et des combines auxquelles il recourt depuis des lustres, et qu’il tente vainement de camoufler, il a même fait venir sa mère en France, en a fait une vielle indigène indigente de la colonie, à la recherche de prises en charge dites médico-sociales auprès de la métropole.
Sa mère continue d’habiter la maison qu’il a usurpée au Maroc et qu’il n’a pas encore vendue comme il le souhaite, mais il fait venir sa mère chaque fois que l’administration de la métropole veut vérifier que la vieille indigène indigente est établie en métropole.
Allaah connaît toutes les falsifications et toutes les magouilles de ce personnage qui a fini par vendre la maison usurpée.
Il fait semblant de chercher à acquérir un petit appartement pour y loger sa mère, la vieille indigène indigente″.
Et même s'il l'acquiert, ce sera, dans sa tête, pour le vendre avec "une plus-value" au décès de "l'indigène indigente".
[4] Ce ne sont pas les yeux qui sont atteints de cécité mais les cœurs qui sont dans les poitrines″.
Alqoraane (Le Coran), sourate 22 (chapitre 22), Alhajj; Le Pèlerinage, aayate 46 (verset 46).
Kachriid note que la vérité transcendante ne peut être perçue par les yeux ou par le toucher car elle n’a rien de matériel et ne tombe pas sous nos sens très limités. Il y a donc un autre organe percepteur qui est le cœur. Quand le cœur est vraiment sain et qu’il n’est pas aveuglé par l’orgueil et l’ingratitude, il décèle instinctivement la présence d’un pouvoir suprême qui préside à la marche de toute chose.
L’homme est un être religieux par nature et par besoin mais c’est à la suite de l’emprise totale de ses désirs charnels et de ses passions terrestres sur tout son être qu’il dévie du droit chemin″.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984).
[5] Satan.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
J’ai parlé plusieurs fois de cela, et je tiens à rappeler.
Il est bénéfique de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.
Voir :

samedi 2 mars 2013

L’ISLAAM NE PORTE PAS ATTEINTE AUX DROITS D’AUTRUI



« Allaah ordonne la justice, la bienfaisance et l’assistance aux proches et interdit la turpitude, ce qui est blâmable et l’atteinte aux droits des autres ».[1]
Abou Sa’iid Alkhodriyy[2] qu’Allaah le bénisse, a entendu le Messager d’Allaah sur lui la bénédiction et la paix dire :
« Quiconque voit ce qui est blâmable qu’il le redresse avec sa main,[3] s’il ne peut pas, avec sa langue,[4] s’il ne peut pas, avec son cœur[5] et c’est le minimum de la foi[6] ».[7]
L’éthique de l’Islaam se résume dans le fait que les croyants,[8] attachés à Alqoraane et à Assonna,[9] commandent[10] le convenable[11] et proscrivent[12] le blâmable.[13]

 
BOUAZZA


[1] Alqoraane (Le Coran), sourate 16 (chapitre 16), Annahl, Les Abeilles, aayate 90 (verset 90)..
"Ce verset résume brillamment toute l’éthique de l’Islaam : justice, bienfaisance et rapports amicaux et au besoin secourables avec tous ceux qui nous sont liés par la parenté.
Interdiction de toute action immorale et de toute chose que l’esprit honnête et non perverti réprouve. Interdiction  de violer les droits d’autrui quand même il s’agit d’un non musulman.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Lobnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), p. 358 (note en bas de page).
[2] Le r roulé.
[3] En intervenant pour prendre des mesures qui s’imposent.
[4] Par la parole.
[5] En cas d’impossibilité de combattre avec la main ou avec la parole les méfaits, ce qui est répréhensible, ce qui est blâmable, alors il faut au moins les condamner avec son cœur, en son for intérieur.
[6] Ad’af aliimaane.
[7] Hadiite rapporté par Moslime.
[8] Almouminoune.
[9] Alqoraane est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite (hadith, hadite), cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
[10] Ya-e-moroune (le r roulé).
[11] Alma’rouf (le r roulé).
[12] Yanehawne.
[13] Almounekar (le r roulé).
Alqoraane (Le Coran), sourate 3 (chapitre 3), Aal ‘Imraane (le r roulé), La Famille De ‘Imraane, aayate 110 (verset 110).
Voir :