À
peine installé sur le trône du Palais de l’Élysée, l’homme de gauche[1] qui
remplace son alter ego de droite[2] comme
Président de la République en France, reçoit l’allégeance d’employés placés par
l’impérialo-sionisme, dans le cadre de « l’indépendance dans l’interdépendance »,[3] à la « tête »
des « États » dits « musulmans » et autres.
Des serpillières adorant des
semelles qui les foulent.[4]
BOUAZZA
[1] François Hollande.
[2] Nicolas Sarkozy.
[3]
Statut octroyé par le colonialisme et l’impérialo-sionisme qui s’est traduit
dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles.
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