jeudi 14 juin 2012

LAISSER LE « THON » AU « THON »


L’érection présidentielle qui s’est achevée en mai 2012,[1] a permis d’installer François Hollande, le figurant de gauche sur le trône du Palais de l’Élysée comme Président de la République, en remplacement de son alter ego, le figurant de droite, Nicolas Sarkozy.
La gauche est donc au Palais de l’Élysée, à Matignon pour le premier ministre et dans les divers ministères pour les ministres.
Elle a la majorité dans les conseils communaux (les communes), les conseils généraux (les départements), les conseils régionaux (les régions), le Sénat et dimanche soir 17 juin 2012, elle va l’avoir à l’Assemblée Nationale.
La gauche est ainsi de nouveau autorisée par ses employeurs ─ qui sont aussi les employeurs de la droite ─ à occuper la majorité des fauteuils moelleux et tout ce qui va avec, pour con-tinuer, comme la droite, la débauche, la cupidité, les détournements d’argent, la corruption, les turpitudes, les combines, les tours de passe-passe, les magouilles, le faux, l’usage de faux, les mensonges, les insultes, les agressions, j’en passe et des pires.
Un des derniers modèles de cette gauche, son « tonton » François Mitterrand, répétait à qui voulait entendre, qu’il allait « changer la vie ».
Ce figurant qui a profité de multiples fauteuils pour « changer sa vie », a été installé pendant quatorze années sur le trône du Palais de l’Élysée.
Comme ses semblables de droite, il n’a jamais déçu ses employeurs, les imposteurs d’hier, d’aujourd’hui et de demain.
Afin de « mieux se prémunir » contre un éventuelle « colère » de « la France d’en bas », les imposteurs vont peut-être faire une grande con-cession, et autoriser les « gouvernants » de gauche à geler par exemple le prix des carburants pendant quelques semaines : Peut-être !
Le con-citoyen, con-vaincu de son « pouvoir » lors des érections, met fièrement le machin dans la fente.
« Fécondation ».
Laisser le « thon » au « thon » disait leur « tonton ».[2]



BOUAZZA


[1] Selon le calendrier dit grégorien.
[2] Le figurant de gauche, François Mitterrand répétait à qui voulait entendre que pour ce qui est du changement, il faut laisser le temps au temps.
Voir :

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