Elle a pris connaissance d’Alqoraane,[1] qui
est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Et puis, sur une plage, à la nuit tombée, elle a retrouvé l’engagement
perdu.[2]
Notre histoire
commence avant notre apparition ici-bas, par notre engagement à la croyance à
Allaah.[3]
Un fabuleux don du Créateur qui
fait que le plus important est en chaque personne.
Les
êtres humains[4] naissent
croyants.
Cela n’empêche pas que des
personnes nient l’engagement par lequel elles ont reconnu qu’Allaah Est leur
Seigneur.
En
effet, des changements interviennent tout au long de l’existence ici-bas.
Les uns
gardent cette croyance, les autres la perdent, et certains, selon des modalités
différentes, des cheminements divers, et des voies multiples, y retournent.[5]
Allaah n’a pas voulu que l’être
humain soit contraint à l’Adoration.[6]
Chaque personne est donc libre de
croire ou de ne pas croire.
Et chaque personne est
responsable de son choix.
Il va de soi que cette Liberté de
choix ne s’oppose pas à la Volonté d’Allaah.
C’est parce que Allaah l’a voulu,
que l’être humain bénéficie de cette Liberté de choix.
Allaah peut imposer ce qu’Il
veut, à qui Il veut, comme Il veut, quand Il veut.[7]
BOUAZZA
[1] Le Coran.
[2] Je pense
ici à Mélanie Georgiades (dont le nom de chanteuse de rap est Diam’s).
En retournant à la croyance
et en portant le foulard des croyantes, elle a permis à la haine contre
l’Islaam d’exploser encore une fois contre ce qui est appelé en France ″le voile de l’oppression et de
l’obscurantisme″, haine qui se
sert d’amalgames, par exemple, avec des traditions rétrogrades que l’Islaam
rejette, dénonce et combat.
L’Islaam depuis Aadame
(Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour
Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[3] ″Et lorsque ton Seigneur
tira des reins des fils d’Aadame leur progéniture et les fit témoigner contre
eux-mêmes : ″Ne suis-Je pas votre Seigneur ?″ Ils dirent : ″Si, nous en
témoignons″
Alqoraane (Le Coran),
sourate 7 (chapitre 7), sourate Ala’raaf, L’Enceinte du Paradis, Les Limbes,
aayate 172 (verset 172).
[4] C’est
d’eux qu’il s’agit ici.
[5] Et
lorsqu’une personne après des errements retourne à la croyance à Allaah, c’est
le "retour du cœur dans sa patrie" comme le dit pour ce qui le concerne
Léopold Weiss, qui a choisi de s’appeler Muhammad Asad (Mohammad Açad).
[6] Al’ibaada.
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