La mascarade à grand spectacle
qu’offre l’UMP[1] en France depuis un
certain temps,[2] que d’autres partis ont
offert à un moment ou à un autre, et qu’ils ne manqueront pas d’offrir, montre,
une fois encore, que les « militants » zé[3] les
« militantes », qui sont aussi des zélés cteurs[4] zé des
zélées ctrices,[5] ne sont rien sur l’échiquier
dont ils ne savent pas grand-chose.
C’est la mafia, à l’échelle
planétaire, qui use de tous les moyens, et agit partout, comme elle a
l’habitude de le faire, pour faire triompher ses intérêts.
La mafia qui gangrène les pays et
continue les ravages.
La mafia à la tête de la finance
internationale.
La mafia qui corrompt des
« politiques », des « élus », des « magistrats »,
des « avocats », des « patrons », des
« syndicalistes », des « médecins », des
« professeurs » des « intellectuels », des
« journalistes », des « écrivains », des
« artistes » et d’autres.
La mafia qui « offre »
des emplois fictifs, des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges
dans diverses institutions, des places au gouvernement.
La mafia qui élit des présidents,[6] qui
intronise des rois et des reines, qui procure de l’argent, des voyages, du sexe
sans frontières et mille et une autres « faveurs ».
La mafia qui alimente et
entretient l’étable de la loi.[7]
La mafia qui se charge de
combattre quiconque porter atteinte à ses « droits ».
La mafia qui calomnie, diffame, salit, écrase, détruit, et extermine.
La mafia qui dispose des États
comme instruments pour agir à sa guise.
La mafia qui veille sur son fonds
de commerce, en faisant tout afin d’imposer son diktat partout.[8]
Des personnes ne sont pas
aveugles, mais n’arrivent pas à voir l’imposture.
« Ce ne sont pas les yeux
qui sont atteints de cécité, mais les cœurs qui sont dans les poitrines ».[9]
BOUAZZA
[1] Union pour un Mouvement
Populaire.
[2]
Concernant l’affrontement entre Jean François Copé et François Fillon au sujet
de ″l’élection″ du président de l’UMP qui a, une
fois encore, mis à jour les tricheries, les fraudes, les magouilles,
l’imposture de toujours.
[3] Et.
[4] Les électeurs.
[5] Les électrices.
[6] Celui
qu’elle a renvoyé en mai 2012 (selon le calendrier dit grégorien), Nicolas
Sarkozy, a été autorisé à participer à l’élection dite présidentielle afin de
donner libre cours à la haine qui le remplit vis-à-vis de l’Islaam.
Dégoulinant de suffisance,
avec une arrogance, une condescendance inouïes, il a débité les insanités de
toujours, les bassesses, les mensonges contre les croyants et les croyantes, et
a martelé que la France doit incarner la nouvelle frontière de la civilisation
du vingt-et-unième siècle, autrement dit, la frontière contre l’Islaam.
Celui qui a été installé à
sa place sur le trône du Palais de l’Élysée, François Hollande, l’alter ego de
gauche du renvoyé de droite, n’en pense pas moins, mais pour l’instant, la
tache qui lui a été assignée dans son rôle de figurant, dit Président de la
Ré-pub-lique, le dispense de faire de sa haine, un étendard.
C’est le figurant de
droite, Jean François Copé, un clone de Sarkozy, qui reprend, avec la même
suffisance, la même arrogance, les insanités débitées par Sarkozy, en pensant
que pour être installé sur le trône à la place du figurant de gauche en 2017,
il doit laisser libre cours à sa haine de l’Islaam.
Cette haine est le meilleur
gage au marché des imposteurs.
[7] Les tables de la loi.
[8] Je ne fais que répéter ce
que j’ai déjà exposé plus d’une fois.
[9] Alqoraane (Le Coran),
sourate 22 (chapitre 22), Alhajj, Le Pèlerinage, aayate 46 (verset 46).
Voir :
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