Dans le lieu où il a été jeté par
des criminels après son enlèvement dans une demeure où se retrouvent des
croyants,[1] il ne
pouvait pas voir les autres, alignés comme des cadavres,[2] avec
les atroces douleurs de corps déchiquetés par les tortures qu’infligent des
fonctionnaires au service d’un « État » dit « musulman ».[3]
Complètement dénudé, ses pieds
ont été transformés en bouillie par les coups.
Il a été maintenu la tête dans
une eau crasseuse jusqu’à l’évanouissement.
Maintenu de force assis sur le
goulot d’une bouteille, il a eu l’anus déchiré.
Un jour, il était pratiquement à
l’agonie, mais il a entendu des aboiements, et il a senti la présence du chien
dressé pour violer les torturés.
Lorsque le chien a refusé de
faire ce qu’il devait, une détonation a retenti, suivie du gémissement de
l’animal qu’un des criminels venait de flinguer.[4]
BOUAZZA
[2] Ils restaient dans cette
position des semaines, voire des mois.
[3] ″État″
de ″l’indépendance dans
l’interdépendance″ au statut octroyé par le colonialisme
et l’impérialo-sionisme, les employeurs.
Dans les colonies, cela
s’est traduit par la multiplication des "États" supplétifs,
subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans
l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces
employeurs utilisent les ″États″dits ″musulmans″, en
installant à leur ″tête″ des dévoyés qui
dégoulinent d’argent sale, de vice et de trahison, qui répandent depuis
longtemps les moeurs dissolues et font des lieux où ils sévissent des
dépotoirs, qui commettent les crimes les plus abominables, et les plus
nauséabonds, qui sodomisent, et massacrent des hommes, qui violent, méprisent,
humilient, et tuent des femmes, qui maltraitent, et font disparaître des
enfants.
Ils salissent et souillent
tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la
débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Pour eux, l’humain est
réduit à rien.
L’Islaam
qui consiste depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix à faire de
son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande, les rejette, les
dénonce, les condamne et les combat depuis toujours.
Les croyants savent que ces
″États″ n’ont rien à voir avec l’Islaam, que les individus
placés à leur ″tête″ sont des imposteurs et que depuis
des lustres, aucun État Musulman n’existe plus, nulle part.
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