Alqoraane[1] est la continuation, la
synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la
paix,[2] a eu
pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la
paix.
Lorsqu’on parle de hadiite,[3] cela
renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime
Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans
Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Il appartient aux croyants et aux croyantes[4] de
faire des efforts pour étudier Alqoraane et Assonna.
Le mois de ramadaane,[5] est une
occasion de prendre de bonnes résolutions, de faire de son mieux afin de
continuer à apprendre et à acquérir pour transmettre dans la Voie de l’Islaam.[6]
Durant ce mois qui cette année[7] a
commencé hier,[8] je vais essayer ine chaa-e
Allaah,[9] de rappeler
« les quarante hadiite »[10] choisis
par Annawawii qu’Allaah le bénisse.[11]
Connaître quarante hadiite[12] est méritoire
dans la Voie d’Allaah.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[13]
BOUAZZA
[1] Le Coran.
[2] Sallaa Allaah ‘alayh wa sallame.
[3] Hadiith, hadith.
[4] Almonminoune wa
almouminaate.
[6]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[8] Vendredi 20 juillet 2012
(selon le calendrier dit grégorien).
[9] Si Allaah veut.
[10] Certains se référent à quarante
deux ou à quarante cinq et d’autres vont jusqu’à cinquante.
Pour ce qui me concerne, je
vais essayer ine chaa-e Allaah, de rappeler quarante hadiite choisis par
Annawawii.
[11] Le titre qui sera donné à
chaque hadiite sera de moi.
[12] Hadiithe, hadhiithe, hadiith, hadith, hadite.
[13] Dans
le rappel des hadiite, la transcription en alphabet latin de l’arabe, sera
faite, autant que faire se peut, en tenant compte de la ″vocalisation″
(achchakle).
Il
y a lieu de signaler d’ores et déjà , que d’une manière générale, la
transcription de l’arabe au français pose certaines difficultés liées à la
prononciation et à certaines lettres de l’alphabet arabe par exemple qui ne se
retrouvent pas dans l’alphabet français.
La
lettre ″T″ en arabe peut s’écrire
de trois manières et donc se prononcer différemment, ce qui explique
l’utilisation du ″TH″ pour certains mots.
Parfois
le ″TH″ n’est pas utilisé dans
la traduction, même si la lettre arabe le justifie, car la prononciation courante
reste plus proche du ″T″.
C’est
dire que ″l’approximation″ n’est pas
absente, y compris dans les autres cas qui se posent, mais le fond n’en souffre
pas.
La
lettre ″D″ en arabe s’écrit de
quatre manières, l’usage du ″DH″ n’est pas absent, mais il ne permet pas toutes les
nuances et parfois même, comme dans ce qui a été signalé concernant la lettre ″T″, la prononciation
pousse à garder le ″D″ au lieu d’ajouter ″autre chose″ pour
signaler la différence.
S’agissant
du ″H″, comme dans ″Haraame″, il n’y a
pas de problème, mais pour ″Allaah″ ou ″Hijra″ par exemple c’est le ″H″ qui n’existe
pas dans l’alphabet français.
Le
sens général peut aider le lecteur à distinguer les deux lettres.
Pour
″charii’a″ (législation)
par exemple, mot écrit ″charia″ en français, le signe’
devant la lettre signifie que c’est le ″‘a″ de ″charii’a″.
Le
″R″ en arabe c’est le ″R″ roulé.
Le
″GH″ est utilisé pour le ″R″ en français, comme dans
″gharaame″ (amour).
La
lettre ″K″existe en arabe, mais en
français, il n’y a pas le ″qaaf″ comme dans ″qalb″ (cœur).
Beaucoup
usent du ″K″ pour transcrire ″kalb″ (chien) et ″qalb″ (cœur).
Il
y a la lettre ″waaw″comme dans ″waajib″ (devoir) et elle est
représentée par ″w″, puis la lettre ″yaa-e″ comme dans ″yajrii″ (il court) et elle est
représentée par ″y″ et ″ii″.
Il
y a aussi les lettres ″longues″ en arabe
comme le ″A″ dans ″maal″ (argent, bien), le ″I″ dans « fiil
(éléphant) et autres.
Le
″O″ devient ″OU″ lorsque la lettre est ″longue″ comme dans ″boyoute″ (pluriel de
maison, bayte).
La
lettre ″doublée″ ou ″appuyée″,
c'est-à-dire avec ″achchadda″ en arabe,
est présentée avec les deux lettres en français : attaghyiir (le
changement).
Le
″KH″ est utilisé pour une
lettre qui n’existe pas dans l’alphabet français comme dans ″khaliifa″ qui se lit ″calife″ en français.
Le
″S″ s’écrit de deux manières en arabe, il peut arriver de
faire appel au ″Ç″, mais cet usage sert plutôt à éviter que le ″S″ ne se lise ″Z″.
Ces précisions relatives à
la transcription seront reprises en bas de page du premier hadiite et peuvent
servir pour l’ensemble des textes présentés.
Voir :
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