samedi 21 juillet 2012

ALQORAANE ET ASSONNA



Alqoraane[1] est la continuation, la synthèse et le parachèvement du Message d’Allaah.
Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix,[2] a eu pour mission de le transmettre.
Assonna a trait à la conduite de Mohammad sur lui la bénédiction et la paix.
Lorsqu’on parle de hadiite,[3] cela renvoie à ce qui a été rapporté concernant la conduite de Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
Alqoraane n’a de sens qu’avec Assonna et Assonna ne peut exister sans Alqoraane.
Assonna procède d’Alqoraane.
Il appartient aux croyants et aux croyantes[4] de faire des efforts pour étudier Alqoraane et Assonna.
Le mois de ramadaane,[5] est une occasion de prendre de bonnes résolutions, de faire de son mieux afin de continuer à apprendre et à acquérir pour transmettre dans la Voie de l’Islaam.[6]
Durant ce mois qui cette année[7] a commencé hier,[8] je vais essayer ine chaa-e Allaah,[9] de rappeler « les quarante hadiite »[10] choisis par Annawawii qu’Allaah le bénisse.[11]
Connaître quarante hadiite[12] est méritoire dans la Voie d’Allaah.
Qu’Allaah nous éclaire et nous guide.[13]


BOUAZZA


[1] Le Coran.
[2] Sallaa Allaah ‘alayh wa sallame.
[3] Hadiith, hadith.
[4] Almonminoune wa almouminaate.
[5] Le r roulé, le mois de ramadan, le mois de jeûne.
[6] L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[7] 1433 d’Alhijra (le r roulé), de l’hégire, de l’émigration, de l’exil.
[8] Vendredi 20 juillet 2012 (selon le calendrier dit grégorien).
[9] Si Allaah veut.
[10] Certains se référent à quarante deux ou à quarante cinq et d’autres vont jusqu’à cinquante.
Pour ce qui me concerne, je vais essayer ine chaa-e Allaah, de rappeler quarante hadiite choisis par Annawawii.
[11] Le titre qui sera donné à chaque hadiite sera de moi.
[12] Hadiithe, hadhiithe, hadiith, hadith, hadite.
[13] Dans le rappel des hadiite, la transcription en alphabet latin de l’arabe, sera faite, autant que faire se peut, en tenant compte de la vocalisation (achchakle).
Il y a lieu de signaler d’ores et déjà , que d’une manière générale, la transcription de l’arabe au français pose certaines difficultés liées à la prononciation et à certaines lettres de l’alphabet arabe par exemple qui ne se retrouvent pas dans l’alphabet français.
La lettre T en arabe peut s’écrire de trois manières et donc se prononcer différemment, ce qui explique l’utilisation du TH pour certains mots.
Parfois le TH n’est pas utilisé dans la traduction, même si la lettre arabe le justifie, car la prononciation courante reste plus proche du T.
C’est dire que l’approximation n’est pas absente, y compris dans les autres cas qui se posent, mais le fond n’en souffre pas.
La lettre D en arabe s’écrit de quatre manières, l’usage du DH n’est pas absent, mais il ne permet pas toutes les nuances et parfois même, comme dans ce qui a été signalé concernant la lettre T, la prononciation pousse à garder le D au lieu d’ajouter autre chose pour signaler la différence.
S’agissant du H, comme dans Haraame, il n’y a pas de problème, mais pour Allaah ou Hijra par exemple c’est le H qui  n’existe pas dans l’alphabet français.
Le sens général peut aider le lecteur à distinguer les deux lettres.
Pour charii’a (législation) par exemple, mot écrit charia en français, le signe’ devant la lettre signifie que c’est le ‘a de charii’a.
Le R en arabe c’est le R roulé.
Le GH est utilisé pour le R en français, comme dans gharaame (amour).
La lettre Kexiste en arabe, mais en français, il n’y a pas le qaaf comme dans qalb (cœur).
Beaucoup usent du ″K″ pour transcrire ″kalb″ (chien) et ″qalb″ (cœur).
Il y a la lettre waawcomme dans waajib (devoir) et elle est représentée par w, puis la lettre yaa-e comme dans yajrii (il court) et elle est représentée par y et ii.
Il y a aussi les lettres longues en arabe comme le A dans maal (argent, bien), le I dans « fiil (éléphant) et autres.
Le O devient OU lorsque la lettre est longue comme dans boyoute (pluriel de maison, bayte).
La lettre doublée ou appuyée, c'est-à-dire avec achchadda en arabe, est présentée avec les deux lettres en français : attaghyiir (le changement).
Le KH est utilisé pour une lettre qui n’existe pas dans l’alphabet français comme dans khaliifa qui se lit calife en français.
Le ″S″ s’écrit de deux manières en arabe, il peut arriver de faire appel au ″Ç″, mais cet usage sert plutôt à éviter que le S ne se lise Z.
Ces précisions relatives à la transcription seront reprises en bas de page du premier hadiite et peuvent servir pour l’ensemble des textes présentés.
Voir :

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire