« Chaykh » en arabe se
dit « chiikh » en parler[1] au
Mghrib,[2] « cheikh »
en français et signifie personne âgée, mais désigne aussi un chef de bande ou
de clan dans des contrées dites « arabo-musulmanes ».
Au Maroc, le mot désigne aussi un indicateur placé par « l’administration »
pour tenir informé le représentant du « ministère » de l’intérieur,
le caïd,[3] des
faits et gestes des populations qu’il est chargé de surveiller.
La mafia[4] qui
alimente et entretient l’imposture partout, utilise des « États » dits
« musulmans »,[5] en
installant à leur « tête » des « cheikhs »,[6] des dévoyés
qui dégoulinent d’argent sale, de vice et de trahison.[7]
Certains de ces « États »
sont des puits de pétrole contrôlés par cette mafia qui verse une partie des
revenus des pillages aux « cheikhs » qui se vautrent dans la luxure,
la débauche, la corruption et veillent à réprimer, à massacrer et à terroriser
les populations qui s’opposent à ce fléau.
Et dans le cadre de l’imposture,
la propagande des hypocrites[8] leur
attribue les vertus de la foi,[9] nie
les maux répandus et soutient, par exemple, que dans « l’État » dit
« musulman », l’alcool[10] est
rejeté car condamné par l’Islaam, « fondement de cet État », alors que
l’alcool coule à flots et entraîne les conséquences les plus catastrophiques.
« Le cheikh » en boit.
Les Français prononcent : Le chèque en bois.[11]
BOUAZZA
[3]
Alqaa-i-d, qui veut dire en arabe celui qui conduit et qui signifie au Maroc
agent du sultan, puis du colonialisme et aujourd’hui du roi, au ″ministère″ de l’intérieur d’un régime au service de l’impérialo-sionisme.
Au Maroc, le sultanat a été
transformé par le colonialisme français en monarchie héréditaire, dite de
"droit divin", où le sultan est devenu roi.
Ce régime installé pour
servir le colonialo-impérialo-sionisme, est un régime de l’imposture, de la
trahison, de la tromperie, de l’injustice, de la perversion, de la débauche, du
mensonge, du pillage, de la tyrannie, du crime, de la torture, et autres, comme
ses frères des ″États″ dits ″musulmans″.
[4]La mafia qui agit pour faire triompher, comme elle a
l’habitude de le faire, ses intérêts.
La
mafia qui depuis des lustres gangrène les divers pays.
La
mafia qui à la tête de la finance internationale, ne cesse de piller.
La
mafia qui corrompt des ″politiques″, des ″élus″, des ″magistrats″, des ″avocats″, des ″patrons″, des ″syndicalistes″, des ″médecins″, des ″professeurs″ des ″intellectuels″, des ″journalistes″, des ″écrivains″, des ″artistes″ et autres.
La
mafia qui ″offre″ des emplois fictifs,
des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges dans diverses
institutions, des places au gouvernement, qui élit des présidents, qui
intronise des rois et des reines, qui procure de l’argent, des voyages, du sexe
sans frontières et mille et une autres ″faveurs″.
La
mafia qui défend l’étable de la loi (les tables de la loi).
La
mafia qui se charge de réduire au silence, quiconque ose porter atteinte à ses ″droits″.
La mafia qui calomnie,
diffame, salit, souille, humilie, écrase, détruit, et extermine quiconque
n’approuve pas ses pratiques, selon la technique très prisée qui consiste à ″victimiser″ l’accusé et à accuser la victime.
La
mafia qui dispose des États comme instruments de son bon vouloir, pour agir à
sa guise.
La
mafia qui veille sur son fonds de commerce, en se permettant tout et en
imposant son diktat partout.
[5] Les
croyants et les croyantes (almouminoune wa almouminaate) savent que ces
"États" n’ont rien à voir avec l’Islaam, que les individus placés à
leur "tête" sont des imposteurs et que depuis des lustres, aucun État
Musulman n’existe plus, nulle part.
L’Islaam consiste à faire
de son mieux pour Adorer Allaah, comme
Allaah le demande.
Il rejette, dénonce, condamne
et combat l’imposture.
″Cheikhs″, ″rois″, ″présidents″ ou autres.
[7] Les chefs de ces ″États″ dits ″musulmans″ qui répandent depuis longtemps les moeurs dissolues
et font des pays où ils sévissent des dépotoirs, qui commettent les crimes les
plus abominables, et les plus nauséabonds, qui recourent à la torture sous
toutes ses formes, qui sodomisent, et massacrent des hommes, qui violent,
méprisent, humilient, et tuent des femmes, qui maltraitent, et font disparaître
des enfants.
Les
″chefs″ de ces ″États″ pions, ont des comptes
bancaires partout, des lingots d’or, des pierres précieuses, des bijoux de
grande valeur, des fermes modèles, des haras, des propriétés immobilières sans
nombre, des résidences dans les ″grandes
capitales″ et au bord de ″plages pour
milliardaires″, des palaces, des tableaux de peintres de renom, des
cabarets, des boîtes de nuit, des salles de jeu, des lieux de ″massages″, des
restaurants, de la drogue, des voitures luxueuses, des avions, des bateaux.
Ils
s’alcoolisent, s’adonnent à la pédophilie et autres.
Ce
sont des pilleurs de milliards de dollars, amassés avec l’appui de leurs
employeurs impérialo-sionistes chez qui ils les placent dans les banques, dans
l’acquisition de propriétés immobilières, de commerces et autres.
Ils
investissent sans compter dans les lieux de la débauche, se font livrer par
vols entiers des débauchés dits stars, artistes et autres, des alcools et
drogues à profusion, des mets pour ″civilisés″ que les ″barbares″ ne connaissent même pas de nom
Ils
raffolent de sexe sans frontières, de partouzes mondialistes.
Ils
s’offrent des scribouillards et autres pour les encenser.
Ils salissent et souillent
tout, recourent à la tyrannie, à la corruption, à la dépravation, à la
débauche, à la censure, aux usurpations, aux vols, aux impostures, aux
mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux trahisons, aux tromperies, aux
tricheries, aux humiliations, aux enlèvements, aux séquestrations, aux
emprisonnements, aux supplices, aux tortures, aux liquidations, aux tueries,
aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent les horreurs, la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.
Pour eux, l’humain est
réduit à rien.
[8] Almonaafiqoune.
[9] Aliimaane.
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