Ces
« larmes sont-elles des perles de la pensée, comme la rosée après une nuit
noire : l’ultime de ce qu’un homme a pu ressentir et penser et que sa
plume n’a pas pu traduire en mots ? »[1]
[1] Driss Chraïbi (Driis
chraaïbii), L’Homme du Livre, Balland-Eddif (Eddif, Maroc, 1994,
Balland, France, 1995), p. 85.
Je reprends ce que j’ai déjà exposé.
Voir :
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