mardi 25 décembre 2012

LE NOUVEAU NÉ QUI RÉCONFORTE SA MÈRE



Parfum des mots où la clarté éclaire l’obscurité, et où l’obscurité s’ouvre à la clarté.
Des mots au-delà du Temps et de l’Espace.
Des mots qui appellent à faire de son mieux pour se remplir du Sens, du Lien, du Souvenir de Demain.
Des mots qui sortent l’être des ténèbres à la Lumière.
Des mots qui rappellent.
Mais où est l’écoute ?
Qui se rappelle du bébé[1] à peine né, qui a appelé sa mère d’au dessous d’elle pour la réconforter en lui disant de ne pas s’affliger, que le Seigneur a placé à ses pieds une source pour boire, et qu’il lui suffit d’agiter le tronc du palmier, pour avoir des dattes fraîches et mûres pour manger ?[2]
Qui se rappelle d’avant ?
Qui se rappelle d’après ?
Flots de pensées.
Averses d’images.
Afflux de sensations.
« Par le soleil et par sa clarté. Par la lune quand elle le suit. Par le jour quand il l’éclaire. Par la nuit quand elle l’enveloppe. Par le ciel et par Celui qui l’a construit. Par la terre et par Celui qui l’a étendue. Par l’âme et par Celui qui l’a harmonieusement façonnée. Et lui a inspiré son immoralité et sa piété. A réussi celui qui l’a purifiée. Et a perdu celui qui l’a corrompue ».[3]

 
BOUAZZA


[1] ‘Iiçaa Ibn Maryame (le r roulé), Jésus fils de Marie, Prophète et Messager de l’Islaam, sur lui la bénédiction et la paix.
[2] Alqoraane (Le Coran), sourate 19 (chapitre 19) Maryame (le r roulé), Marie, aayate 23 à aayate 27 (verset 23 au verset 27).
[3] Alqoraane (Le Coran), sourate 91 (chapitre 91), Achchams, Le Soleil, aayate 1 à aayate 10 (verset 1 à verset 10).
Voir :

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