L’abrogation de la peine de mort
par un État, n’empêche pas celui-ci de tuer.
En effet, pour une raison ou une
autres, une personne[1]
désignée par certains qualificatifs, peut ne pas échapper à une exécution
sommaire par un État où la peine de mort est abrogée.
L’État responsable de l’exécution[2]
sommaire la « justifie » ensuite par le fait que la personne était par
exemple, « connue » des services de police, « menaçait l’ordre
public ou autres.[3]
BOUAZZA
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