Comme ses frères installés à
« la tête » de régimes sanguinaires, dits « États musulmans »,[1] il a
été choisi, après le décès de son sanguinaire de père,[2] pour
continuer à servir les intérêts de ses maîtres.
Ces régimes ne sont aptes qu’à
massacrer les populations des pays où ils sévissent, et à piller tout ce qu’ils
peuvent.[3]
La mafia qui alimente et
entretient l’imposture partout, recours pour cela à des dévoyés avides d’argent
sale, de vice et de trahison.
Ignorant jusqu’au montant en
milliards de dollars de ce qu’ils ont amassé par le biais de leurs employeurs,
ennemis acharnés de l’Islaam,[4] ils
investissent sans compter dans les lieux du vol et de la débauche.
Ils commettent les crimes les
plus abominables, les plus nauséabonds, où la torture sous toutes ses formes
est quotidienne, où des hommes sont sodomisés, tués, où des femmes sont
méprisées, humiliées, violées, achevées et où des enfants sont enlevés,
maltraités, affamés, éliminés.
Ils salissent et souillent tout, recourent à la tyrannie, à la
corruption, à la dépravation, à la débauche, à la censure, aux usurpations, aux
vols, aux impostures, aux mensonges, aux falsifications, aux trafics, aux
trahisons, aux tromperies, aux tricheries, aux humiliations, aux enlèvements,
aux séquestrations, aux emprisonnements, aux supplices, aux liquidations, aux
tueries, aux massacres et autres à des degrés inimaginables, répandent la
décomposition, la puanteur et la putréfaction.[5]
Pour ces exterminateurs,[6]
l’humain est réduit à rien.
Ces imposteurs se déguisent en
« croyants » pour alimenter et entretenir la confusion.
Ils parlent d’Islaam et agissent comme ses pires ennemis, à l’image du sanguinaire
de Syrie qui continue d’exterminer les populations par dizaines de milliers, de
détruire le pays, et qui se fait filmer pendant la prière.[7]
La prière[8] en
Islaam est l’un des piliers majeurs du Message.
Tous les Prophètes et Messagers
sur eux la bénédiction et la paix, accomplissaient la prière et avaient pour
mission de l’enseigner.[11]
Les croyants en ablutions, « purs de corps et de
pensées, se regroupent par longues files, coude à coude, tous tournés dans une
même direction, celle de la Kâaba[12]
Sainte de Mecca[13] (La Mecque). [...] A
l’exemple de l’Imam,[14]
placé devant eux, dans le même sens, et annonçant chaque phase de la prière par
le takbir:
« Allah[15] est
le plus Grand! » ils élèvent tous leurs mains grandes ouvertes à hauteur
de leurs tempes, en témoignant leur extase devant la toute puissance du Maître
des mondes. Puis tous, d’un même mouvement, ils courbent leurs dos et
s’inclinent devant Sa Suprême Majesté.
Mais ce geste ne leur suffit pas pour exprimer toute
l’humilité de leurs âmes; alors, ils s’effondrent vers la terre, se prosternent
en y imprimant pieusement leurs fronts, leurs nez, et demeurent quelques
instants dans cette attitude de suppliants, comme écrasés sous le poids du Ciel
tout entier, qui se serait prosterné avec eux...
Enfin ils redressent leurs poitrines et demeurent assis,
les deux genoux à terre, la tête accablée sous le fardeau de leur ferveur.
Une salutation, accompagnée d’un mouvement du visage à
droite, puis à gauche, et s’adressant aux deux Anges qui ne cessent
d’accompagner tout Croyant, termine la prière.
Les fidèles [...] restent encore dans la même posture, et,
plaçant, à hauteur de leurs poitrines, leurs mains ouvertes sous leurs yeux, à
la façon des feuillets d’un livre, ils implorent la Miséricorde Divine, pour
l’Islam,[16] pour leurs parents et
pour le salut de leurs âmes.
[...] la grandeur de ces gestes expressifs et simples,
dans lesquels la dignité s’allie si parfaitement à l’humilité et qui,
totalement dépourvus d’affectation, constituent le spectacle d’Adoration le
plus poignant que l’on puisse imaginer.
Chaque jour, à chacun des instants où le soleil change la
couleur de ses rayons: à son aube empourprée, à son midi flamboyant, à son
déclin doré, à son coucher jauni par la tristesse de sa disparition, et à son
ensevelissement dans les voiles bleutés de la nuit, non seulement dans les
mosquées,[17] mais dans les maisons et
dans les rues, dans les cafés et dans les souks,[18] dans
les campagnes et dans les déserts, isolés ou par groupes, en quelque lieu
qu’ils se trouvent, sans avoir besoin de l’appel du Muezzin[19] ni de la direction de l’Imam, tous les
Musulmans doivent interrompre leurs occupations et même leurs pensées, pendant
quelques minutes, pour glorifier ainsi le Bienfaiteur.[20]
[...] les Fidèles se tournent cinq fois par jour vers la
Kâaba Sainte de Mecca, et leurs [...] prières s’y gerbent, pour s’élever
jusqu’au Très-Haut et lui témoigner l’inaltérable gratitude de l’âme
islamique».[21]
Il en sera ainsi des vagues successives de l’humanité en
Adoration devant Allaah jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.
Ceux qui comme le sanguinaire de
Syrie et ses frères « musulmans » veulent faire croire qu’ils sont
croyants, ne trompent qu’eux-mêmes :
« Parmi les gens il en est
qui disent : « Nous avons cru à Allaah et au Jour dernier »,
alors qu’ils ne sont pas croyants. Ils cherchent à tromper Allaah et ceux qui
ont cru, mais ne trompent qu’eux-mêmes et ne s’en rendent pas compte. Il y a
dans leurs cœurs une maladie, et Allaah leur accroît la maladie. Ils auront un
châtiment douloureux, pour avoir menti ».[22]
Les croyants et les croyantes[23] ne
perdent pas de vue, le Sens et le Lien qui consistent à se rappeler qu’ils sont
à Allaah, le Maître des Univers, et à Lui ils retournent.
Ils n’ignorent pas que ce qui est
arrivé, ce qui arrive et ce qui arrivera ne peut en rien diminuer la
Miséricorde d’Allaah qui les sort des ténèbres à la Lumière.
La Résistance continue et
continuera ine chaa-e Allaah.[24]
BOUAZZA
[1] Les
croyants et les croyantes savent que ces "États" n’ont rien à voir
avec l’Islaam, et que les employés placés à leur tête sont des imposteurs.
[2] Il a exterminé les
populations de Syrie par dizaines de milliers.
[3] Afin de défendre les privilèges, leurs employeurs
leur vendent des armes pour l’oppression des populations maintenues dans
l’obscurantisme tribal, l’ignorance, l’arriération, la misère, l’absence de
soins et autres horreurs.
Afin
d’approfondir aussi les divisions entre ces "pays frères" !
Les
médias font de temps à autre beaucoup de tapage pour entretenir la confusion et
l’imposture, sur la vente d’armes de "pointe" à ces "États" supplétifs qui en réalité n’obtiennent souvent que
des stocks déclassés, destinés à la destruction et payés au prix fort.
Les
armes de "pointe" ne sont pratiquement
jamais livrées : C’est une propagande pour donner un fondement à
l’usurpation dite "commerce", y compris
dans ce domaine.
Lorsque
par "miracle" des armes de "pointe" sont livrées, les
vendeurs les rendent inutilisables à distance par des contre-mesures
électroniques.
Les discours sur les "ventes d’armes" visent aussi à camoufler les sommes fabuleuses dont
s’emparent les employeurs pour continuer à garder ces employés.
[4] L’Islaam depuis Aadame
(Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à faire de son mieux pour
Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[5] Leurs
employeurs s’en débarrassent lorsqu’ils ne peuvent pas faire autrement, pour
les remplacer par leurs semblables en ayant recours à un "autre"
discours destiné à alimenter, à entretenir la confusion et la manipulation.
Ces
sanguinaires se déchaînent alors car ils ne savent plus quoi faire pour
retrouver les faveurs de leurs employeurs.
Le
sanguinaire de Syrie a toujours fait ce qui lui a été ordonné de faire, et a
toujours fait là où il lui été ordonné de faire, comme ses frères ″musulmans″, il ne
comprend donc pas pourquoi il doit être remplacé.
[6] Que l’Islaam rejette,
dénonce, condamne et combat.
[7]Dans une mosquée.
[8] Assalaate, assalaa.
[9] Al’ibaada.
[10] Allaah.
[11] Elle
a connu des variations à travers le temps et l’espace, et a été fixée telle que
nous la connaissons aujourd’hui, par le Créateur et enseignée par Mohammad, Son
ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix.
[12] Alka’ba.
[13] Makka.
[14] Alimaame.
[15] Allaah.
[16] L’Islaam.
[17] Almasaajid (singulier : almasjid).
[18] Aswaaq (singulier: souq).
[19] Almouaddine.
[20] Almohçine.
[21]
Etienne Dinet et Sliman Ben Ibrahim (Slimaane Ibn Ibraahiime), La vie de Mohammed, Alger, La Maison des
Livres, 1989, p.7 et p.8.
Voir mon texte intitulé "Comment
accomplir la prière en Islaam", daté de 1997, p.203 et 204
[22]
Alqoraane (Le Coran), sourate 2 (chapitre 2), Albaqara (le ″r″
roulé), La Vache, aayate 8 à aayate 10 (verset 8 à verset 10).
[23] Almouminoune wa
almouminaate.
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