« L’opinion publique
internationale » applaudit d’avance les massacres et les destructions,
oeuvre de l’impérialo-sionisme qui « protège le monde du péril terroriste,
c'est-à-dire islamiste », et « préserve la paix
universelle » !
Les imposteurs, à l’œuvre depuis
des lustres, ont toujours usé d’une diarrhée verbale concernant leurs crimes.
Des mots qui alimentent,
entretiennent le faux, et continuent de faire jouir les applaudisseurs !
La mafia à la tête de la finance
internationale se charge de tout.
Cette mafia de la décomposition
gangrène tout, continue de déverser les ordures, et de répandre la puanteur.
Cette mafia corrompt des
« politiques », des « militaires », des « élus »,
des « magistrats », des « avocats », des
« patrons », des « syndicalistes », des
« médecins », des « professeurs » des
« intellectuels », des « journalistes », des
« écrivains », des « artistes » et autres.
Cette mafia « offre »
des emplois fictifs, des fauteuils moelleux, des postes recherchés, des sièges
dans diverses institutions, des places au gouvernement, élit des présidents,
intronise des rois et des reines, procure de l’argent, des voyages, du sexe
sans frontières et mille et une autres « faveurs ».
Cette mafia défend l’étable de la
loi,[1] se
charge de réduire au silence quiconque ose porter atteinte à ses
« droits ».
Cette mafia calomnie, diffame, salit, humilie, écrase, détruit,
extermine quiconque la menace.
Cette mafia recourt à la technique très prisée consistant à
« victimiser » l’accusé et à accuser la victime.
Cette mafia dispose des États
comme instruments de son bon vouloir, pour agir à sa guise.
Cette mafia fait fructifier son
fonds de commerce, en se permettant tout et en imposant son diktat partout.[2]
BOUAZZA
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