Les ordures installées à la
« tête » des « États » dits « africains », sont « des
serpillières adorant les semelles qui les foulent ».[1]
J’ai écrit, entre autres, il y a
de cela de nombreuses années que « Les imposteurs parlent, de libération,
de renouveau, de solidarité, de dignité et veulent, par des mots trahis,
dépouillés, brouillés, souillés, faire croire que malgré leur avilissement, il
leur arrive de se ressaisir, de se reprendre, de s’indigner, alors que tout ce
qui les intéresse c’est ce qui est appelé « le pouvoir ».
Et pour l’atteindre ou le garder,
ils sont prêts à toutes les compromissions, à tous les subterfuges.
Les cadavres qui ont fait éclore
toutes leurs richesses matérielles, entretenues par la sueur et le sang des
survivants, ne les empêchent pas de disserter sur ce qu’ils appellent
l’humanité.
Conne science universelle oblige
ou comme ils disent, conscience universelle ».[2]
J’ai également écrit, il n’y a
pas longtemps que « ce qui a été appelé « la fin de l’apartheid »
en Afrique du Sud, « l’indépendance dans l’interdépendance »[3] ou
« la révolution » dans les autres parties, n’a pas débarrassé l’Afrique
des massacres, des carnages, des destructions, des pillages, des génocides, des
déportations, des enfermements, des viols, des tortures, des haines, des
humiliations, des corruptions, des débauches, des horreurs et autres crimes ».[4]
BOUAZZA
[2] Texte daté de 1992, selon
le calendrier dit grégorien.
[3]
Statut octroyé par le colonialisme, l’impérialo-sionisme, et qui s’est traduit
dans les colonies par la multiplication des "États" supplétifs, subordonnés
avec plus ou moins de zèle, de soumission et de servilité dans l’exécution des
ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États", dont ceux dits ″musulmans″,
sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la
corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage,
l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement,
la négation de l’être humain.
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