Parlant de la France, le général
Charles de Gaulle[1] aurait dit :
« Comment voulez-vous
gouverner un pays où il existe deux cent quarante-six variétés de
fromage ? »[2]
Aujourd’hui, il y a plus de trois
cent cinquante variétés, et de Gaulle n’est plus de ce monde pour le rappeler.
Ce n’est pas de ces variétés
qu’il s’agit ici, ni de celles de la Hollande, autre pays de fromage.
Au mois de mai 2012, le figurant
de gauche, le socialiste François Hollande, a été installé sur le trône du
Palais de l’Élysée pour cinq ans, en remplacement de son alter ego de droite,
Nicolas Sarkozy.[3]
Il faut dire que la gauche s’y
connaît pour servir le système colonialo-impérialo-sioniste.
Et ce n’est pas pour rien que le
socialiste François Mitterrand par exemple, a été installé pendant quatorze ans
sur le trône du Palais de l’Élysée.[4]
La gauche et la droite, avec
leurs « diverses variantes », ont d’innombrables points communs.
Le premier a trait à la haine de
l’Islaam.[5]
La France, de gauche et de droite,
a eu recours, a recours et ne manquera pas de recourir à d’innombrables
agressions contre les croyants et les croyantes.[6]
Et à chaque agression, à l’image
des « politiques » et autres, des commentateurs et tateuses,
collaborateurs et rateuses, discoureurs et coureuses, chieurs et pisseuses,
salariés de magnats de médias dont ils exécutent les ordres,[7] ont
déversé, déversent et déverseront leur haine en mots salis, enlaidis, abîmés,
falsifiés, contaminés, détournés, souillés, trahis, dénaturés, pourris,
nauséabonds, pour grossir le flot des maux qui ont dégouliné, dégoulinent et
dégoulineront de partout, au service de l’imposture.
Arrogants et méprisants, ils ne cessent de débiter des insanités, des
insultes, des bassesses, et des mensonges contre les croyants et les croyantes,
« épouvantail » utilisé depuis toujours pour alimenter et entretenir
le faux.[8]
Les crimes de la gauche comme ceux de la droite sont niés par des
discours qui, invariablement, continuent d’être servis sous couvert de
« défense de la civilisation », contre « les ennemis de la
civilisation ».
« Les ennemis de la civilisation » étant pour le système
colonialo-impérialo-sioniste, les croyants et les croyantes, et autres
« indigènes ».[9]
L’Afrique qui a connu, entres
autres, le colonialisme français pendant des dizaines d’années et plus, a été
amputée d’une importante partie de ses populations, exterminées dans des massacres
et des destructions qui dépassent l’imagination.
Massacres et destructions que la
gauche connaît et auxquels elle a participé.
Les populations d’Afrique[10]continuent
de connaître des agressions qui se poursuivent depuis des siècles : Avant
le colonialisme, pendant l’esclavagisme, durant le colonialisme, avec « l’indépendances
dans l’interdépendance »,[11]
l’impérialo-sionisme et autres.
La gauche en France fait partie
du système impérialo-sioniste, employeur en Afrique[12] de
régimes qui contribuent à faire de ce continent un lieu de l’horreur dans de
multiples domaines.
La France colonialiste a connu quelques années d’occupation par l’Allemagne
du national-socialisme, du nazisme, pendant la deuxième guerre dite mondiale.[13]
Une énorme importance continue d’être accordée à ce moment de
l’histoire de France, au nom de ce qui est appelé « le devoir de
mémoire », entretenu par un flot constant de publications, de films,
d’images, de conférences, de discours, de cérémonies, de célébrations, de
commémorations, d’hommages, de décorations et autres.
Mais lorsque des personnes des pays qui ont connu le colonialisme et
ses horreurs pendant des dizaines et des dizaines d’années veulent parler de
ces horreurs, la France qui poursuit des horreurs du système colonialo-impérialo-sioniste,
leur demande de se taire avec arrogance et mépris, désire qu’ils tournent la
page, et même qu’ils soient reconnaissants pour l’apport
« civilisationnel » du système colonialo-impérialo-sioniste, qui continue
d’œuvrer pour « la défense de la civilisation ».
Ainsi, pour que Hollande défende
son fromage, devenu assez conséquent depuis qu’il a été installé sur le trône
du Palais de l’Élysée, et montre à ceux qui se sont chargés de son installation
qu’il fera tout ce qu’ils désirent, il s’intéresse à « l’Histoire ».
« L’Histoire » avec
hache majuscule.
Qui sert à décapiter « les
ennemis de la civilisation ».
La soldatesque, avec ses avions
bombardiers, ses hélicoptères de destruction, ses chars du carnage, ses véhicules
blindés et autres moyens de massacres, l’allégeance des « États »[14] de
« l’indépendance dans l’interdépendance » en Afrique, intervient au
Mali,[15] un
de ses terrains de jeu.[16]
Le fromage de Hollande grossit.
Et encore une fois, l’imposture
qui consiste à continuer de vouloir justifier les crimes par la lutte contre
« le terrorisme » en entretenant la confusion entre « le
terrorisme » et l’Islaam, est servie à toutes les sauces, et avec tous les
assaisonnements.[17]
Hollande est déjà convaincu qu’il
a maintenant le trône au Palais de l’Élysée pour dix ans.
Il n’a pas besoin que ceux qui se
chargent d’installer des figurants sur ce trône lui rappellent les commandes.
Il les connaît.
L’imposture continue.
La résistance des croyants et des
croyantes contre les agressions aussi.
Elle continue et continuera,
jusqu’à la fin de l’existence ici-bas.[18]
BOUAZZA
[1]
Installé sur le trône du Palais de l’Élysée de 1958 à 1969 (selon le calendrier
dit grégorien).
Il n’a pas fini le deuxième
septennat car il a été détrôné et remplacé par Georges Pompidou de 1969 à 1974.
Pompidou n’a pas fini le
septennat car il est mort.
À sa place, Valéry Giscard d’Estaing a été installé sur le
trône de 1974 1981.
[2]
Ernest Mignon, Les Mots du Général De Gaulle, Paris, Éditions Fayard,
1962.
[3] Sur le trône de 2007 à
2012 (un quinquennat).
[4] De 1981 à 1995 (deux
septennats, la mise en place du quinquennat a eu lieu plus tard, à la deuxième
installation de Jacques Chirac sur le trône qu’il a occupé de 1995 à 2002).
[5]
L’Islaam depuis Aadame (Adam) sur lui la bénédiction et la paix, consiste à
faire de son mieux pour Adorer Allaah, comme Allaah le demande.
[6]
Almouminoune wa almouminaate.
[7] Ces
médias, de droite et de gauche, appartiennent à des fortunés qui font partie de
ceux et de celles qui alimentent et entretiennent l’imposture.
Les journalistes et autres
employés, sont tenus de se soumettre à
ce que veulent les employeurs.
C’est ainsi, et le verbiage
sur ″le journaliste au service
de la vérité″ par exemple, ne
trompe que ceux et celles qui le veulent bien.
Alqoraane (Le Coran),
sourate 10 (chapitre 10), Younos, Jonas, aayate 82 (verset 82).
[9]
Appellation arrogante et méprisante donnée par le colonialisme français aux
populations des territoires colonisés.
[10] Et
d’ailleurs.
[11]
Statut octroyé par le système colonialo-impérialo-sioniste, et qui s’est
traduit dans les colonies par la multiplication des "États"
supplétifs, subordonnés avec plus ou moins de zèle, de soumission et de
servilité dans l’exécution des ordres des métropoles et autres employeurs.
Ces "États", dont ceux dits ″musulmans″,
sont fondés sur l’imposture, le crime, la trahison, la tromperie, la
corruption, l’injustice, la perversion, la débauche, le mensonge, le pillage,
l’oppression, l’exploitation, le viol, la tyrannie, la torture, l’enfermement,
la négation de l’être humain.
[12] Et
ailleurs.
[13]
1940-1945.
[14] Les serviles installés à la ″tête″ de ces ″États″ dits ″africains″, sont pour
leurs employeurs, ″des serpillières qui adorent les semelles qui les
foulent″ (selon l’expression d’un connaisseur qui se
reconnaîtra).
″Serval″, du nom d’un félin.
Ce félin peut, dit-on, uriner trente fois par heure
afin de marquer son territoire.
Cette particularité n’est pas exigée pour être
installé sur le trône du Palais de l’Élysée.
[16] D'autres terrains de jeu existent en Afrique, et ailleurs.
[17] Il n’y a pas si longtemps, c’était aussi pour ″civiliser les indigènes et les mettre au niveau de
l’humanité″.
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