jeudi 17 janvier 2013

JUSQU’À LA FIN DU MONDE



« C’est Nous[1] qui avons fait descendre le rappel[2] et c’est Nous qui en assurons la sauvegarde[3] »[4]


[1] Allaah.
[2] Adhdhikr (le r roulé).
Alqoraane (Le Coran).
[3] Qui en assumons la conservation, qui en sommes Gardien.
Les Prophètes et les Messagers sur eux la bénédiction et la paix, ont tous été chargés de transmettre ce qui leur a été révélé par Allaah.
La multiplicité des révélations se rapporte aux diverses étapes du Message et met en relief son essence qui est l’unicité (attawhiid), l’Adoration d’Allaah l’Unique (al’ibaada).
L’Islaam par conséquent, n’est pas né à l’époque où Mohammad, l’ultime Prophète et Messager sur lui la bénédiction et la paix, a commencé la mission qui lui a été confiée par Allaah.
Alqoraane (Le Coran) qu’il a été chargé de transmettre, est de ce fait la synthèse, la continuation et le parachèvement du Message d’Allaah.
Dans sa traduction du Qoraane, Kachriid (les r roulés) signale dans une note que les anciennes Écritures étaient des codes transitoires qui devaient tous être abrogés par les révélations suivantes.
Alqoraane étant la forme définitive et parfaite du Livre, Allaah a pris en charge de le sauvegarder jusqu’à la fin du monde ; tandis que tous les autres Livres ont été plus ou moins défigurés, Alqoraane est resté intact, tel qu’il a été révélé à Mohammad, l’ultime Prophète et Messager, sur lui la bénédiction et la paix.
Salaah Addiine Kachriid (Salah Eddine Kechrid), traduction du Qoraane (Coran), Loubnaane (Liban), Bayroute (Beyrouth), éditions Daar Algharb Alislaamii, cinquième édition, 1410 (1990), première édition, 1404 (1984), page 338 (note de bas de page).
[4] Alqoraane (Le Coran), sourate 15 (chapitre 15), Alhijr (le r roulé), aayate 9 (verset 9).
J’ai déjà cité ce texte d’Alqoraane, et je le citerai encore et encore ine chaa-e Allaah.
Il est bon de rappeler, encore rappeler, toujours rappeler.
Voir :

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